MES AMI(E)S: Les traceurs du temps pour dire VRAI-FAUX.

L’image efficace en aplat du contenu sur le contenant en carton ( quête insatiable au cours de mes pérégrinations ailleurs et ici).

Et son contraire, la matière vivante qui change d’état ( dégout et fascination face aux salades et au jambon sous plastique de Wolf Vostell, Environnements / Happenings1958-1974, ARC2, Musée d’art moderne de la Ville de Paris).

Les ombres portées, traces éphémères qui au moindre souffle d’air ou de nuage(s) ou tout simplement de la rotation de la terre se brouillent ( mes tatouages-lumières capturés par l’outil smartphone)… tandis que la Fée Électricité impose leur fixité, le tout sur des plans.

Les outils qui peuvent permettre d’aller plus vite que la musique (objets, ombres portées, Iphone, ordinateur et vidéo-projecteur) et ceux qui donnent le temps au temps à la reproductibilité (encres, crayons de couleur et gouaches ou un entre-deux les tampons fabriqués).

En compagnie du papier cuve ou du carton, des formats, sans être des océans qui captent ce que leur offre la main via l’oeil éclairé et les projections d’images.

- et merci aussi à l’émission L’art est la matière avec Jean de Loisy invitée Laurence Bertrand Dorléac et son ouvrage Pour en finir avec la nature morte. 2020.